samedi 28 février 2015

Charleroi en 10 photographies


Nous n'aurions sans doute jamais rien su - nous étant le commun des mortels - si la ville de Charleroi n'avait mis en lumière l'affaire du 1er prix attribué à Giovanni Troilo par le World Press Photo. Bien des interrogations dès cette première phrase. Qui est Giovanni Troilo ? Quel est le prix dont on parle ? Qu'est-ce que le World Press Photo ?

Bien entendu, les avertis en matière de photographie amateurs ou professionnels ne se sont pas posé ces questions. Ils savent eux ! Mais, la béotienne que je suis - juste bonne a prendre quelque clichés souvenirs avec un appareil de poche - n'avait pas la moindre idée de ce dont on parlait. L'inspectrice Necile s'est donc mise en chasse et nous livre ici le fruit de ses recherches et ses réflexions personnelles...

L'accusé : Giovanni Troilo - né à Putignano (Ba) le 4 juin 1968, 46 ans de nationalité italienne, diplômé avec mention en économie avec un diplôme en géographie du développement.
Il a commencé la photographie encore adolescent et a obtenu d'importantes collaborations avec des journaux, des magazines, dans la publicité et à la télévision. Il a dirigé des spots, des vidéoclips, des courts et long métrages et fait de nombreuses photographies.

Les faits reprochés : Il a participé à un concours et a remporté le premier prix de la catégorie "Contemporary Issues" avec une série de clichés de la ville de Charleroi pour le titre 'The dark heart of Europe" (Le cœur noir de l’Europe)

La polémique : La ville de Charleroi par la voix de son bourgmestre demande le retrait du prix de Troilo. Il a adressé un courrier au New York Times et au jury du World Press Photo en ce sens. Paul Magnette dit sa surprise et son désarroi. Il pense que ce sujet photographique littéralement monté de toutes pièces (…) est une grave falsification de la réalité portant préjudice à la Ville de Charleroi et à ses habitants ainsi qu’au métier de photojournaliste (...)  une mise en scène renforçant la dimension dramatique des images (...) le caractère falsifié et mensonger des légendes, le travestissement de la réalité, la construction d’images chocs mises en scène par le photographe, malhonnêtes et qui trahissent les bases de l’éthique journalistique. 


Charleroi, La Ville La Noire (The Black City), une ville près de Bruxelles, symbolise par elle-même toute l'Europe. L'écroulement de la fabrication industrielle, l’accroissement du chômage, l'immigration croissante, la recrudescence de la micro criminalité. La régression de la protection sociale, le manque d'une identité partagée. Ce reportage est un voyage aux racines de ma famille, qui a immigré d'Italie dans la région de 1956 pour travailler dans l'industrie sidérurgique. Deux générations ont réussi sur cette terre promise ais depuis, tout a changé. À ce carrefour des populations unies sous le même toit d'offres d'emploi ont été laissées sans rien à partager depuis que le travail a disparu. Aujourd'hui le malaise social se combine avec les vies des habitants. Les routes autrefois fleuries et propres apparaissent désolées et abandonnées, les industries ferment et la végétation spontanée envahit les vieux quartiers industriels. Un sexe pervers et malade, la haine raciale, l'obésité névrotique et l'abus de médicaments psychotropes semblent être les seuls remèdes capables de rendre acceptable ce malaise endémique. La même chose dans une échelle plus large arrive en Europe. Cela a-t-il un sens de rester ensemble quand la mission initiale a presque échoué ? Sera-t-il possible d'avoir une autre chance ? C'est la question pour l'Europe, c'est la question pour Charleroi, le cœur sombre de l'Europe.



Les conduites d'approvisionnement en gaz se déploient le long des maisons construites près des usines métallurgiques de Charleroi. Avant l'électrification du haut fourneau, ces conduites fournissaient l'énergie nécessaire à l'activité.


Ma grand-mère a vécu dans cette maison de santé. Aujourd'hui sa fille, ma tante y habite aussi. Le propriétaire est très attentionné, tous ceux qui travaillent ici semblent fiers de l'hospitalité de la structure qui s'occupent des personnes âgées et de ceux qui ont des problèmes psychiatriques. La femme qui a la tête est l'amie de ma tante.


Une boîte contient la dose journalière de médicaments donnés aux patients calmes dans la maison de soins


Mon cousin a accepté de se laisser photographier pendant qu'il fourniquait avec une fille dans la voiture d'un ami. Pour eux ce n'était pas étrange. Il existe des parkings populaires pour les couples échangistes ainsi les célibataires hommes et femmes peuvent regarder anonymement à travers les vitres embuées. Le honte est morte a dit quelqu'un à Charleroi


A Charleroi le plus haut et le plus nouvel immeuble est le bureau de la police haut de 75 mètres. Il a été inauguré cet été. C'est le véritable phare de la loi avec une lumière intermittente qui en vient du sommet. Presque toutes les nuits, les hélicoptères surveillent la vie nocturne de la cité.


Philippe habite dans l'un des quartiers les plus dangereux de la ville.


Un officier de police quelques minutes avant une charge contre les hooligans.


Vadim, un peintre qui utilise des modèles vivants. Dans certaines de ses oeuvres, des scènes de cannibalisme sont représentées. Ici il était inspiré par une peinture déjà existante.


Maitre Doberman et Clara la Chienne, sa femme, reçoivent des invités dans un immeuble qui semble abandonné dans les environs de Marchienne au Pont. Dans cette photo, il fait confronter sa femme à ses peurs.


J. garde don arme cachée dans une boite enfouie dans les bois du Bois du Cazier. Cela est plus sécuritaire que de la garder chez soi puisqu'il reçoit régulièrement la visite de la police.


Quelques rétroflexions qui n'engagent que moi.

Le photographe a choisi 10 clichés pour le concours World Press Photo. Sur son site Internet, on en trouve d'autres dans la même veine. Et, si les photos sont "bonnes" parlant de lumière, de composition, de cadrage, les sujets explorés pour illustrer une ville en reportage journalistique sont eux fort discutables. Les légendes qui illustrent les clichés montrent que certaines photographies sont des constructions - rien à voir donc avec le travail du journaliste - et d'autres sont purement mensongères. Par le plus grand des hasards dans une ville de 200.000 habitants, je connais un des personnages photographié qui d'ailleurs explique sur sa page Facebook la genèse du cliché.
Je suis donc sincèrement triste pour monsieur Troilo lui si ce qu'il photographie sont les seules visions qu'il a de la ville qu'il dit avoir visité plusieurs fois.

C'est bien connu, je n'ai pas un amour démesuré pour Charleroi. La ville est sale, mal entretenue tant par les citoyens que par les autorités. Elle vit avec des nids de poule sur ses routes, des trottoirs défoncés maculés de déjections canines, un habitat globalement vétuste et ne répondant plus aux normes de bien être et d'économies d'énergie. Contrairement à ce que j'entends souvent, la population n'est pas sympathique. Il suffit pour s'en convaincre de rentrer dans les commerces, de se rendre dans les services publics, les hôpitaux... La ville est dangereuse et mal fréquentée. Y aller, c'est pendre des risques tant pour ses biens que pour sa personne. Les "grands travaux" censés rendre la ville conviviale la rende au contraire impersonnelle et surtout sans histoire. On arrive à se demander si tout ce qui a fait le passé de cette cité jadis prospère dérange. Mais la folie de tout mettre à terre a débuté il y a longtemps déjà avec la destruction de la maternité reine Astrid devenue stade de football sans toutes les autorisations requises. Elle s'est poursuivie avec celle de bâtiments remarquables, des colonnades, d'un haut fourneau... Ainsi, plutôt que de réhabiliter et d'entretenir, on démolit pour reconstruire en neuf. On appelle cela de la rénovation urbaine... Parmi les projets déjà finalisés, l'hôtel de Police dessiné par le célèbre architecte Jean Nouvel bouge, prend l'eau et est mal conçu pour ceux qui doivent y travailler ; le nouvel hôpital Marie Curie est un navire sans grâce et sans charme, la place de la Digue entièrement recouverte de pierre bleue est froide et triste, la gare de Charleroi-Sud pourtant assez réussie devrait encore changer de visage si le projet pharaonique de la SNCB voit le jour tandis que les quais de Sambre sont sans âme mais avec une placerelle.
J'ai les plus grandes craintes pour la suite de la métamorphose : La Ville Basse et son chantier gigantesque Rive gauche où seront installés 110 000 m² de commerces, de logements, un hôtel et du parking entre la Sambre et le boulevard Tirou, Médiasambre, la maison des médias, place de la Digue, la caserne des pompiers à Marcinelle... Je laisse pourtant le bénéfice au temps. On verra. Mais pour être tout à fait sincère, je me sens peu concernée ; je vais rarement en ville et je m'échappe dès que j'en ai la possibilité du bruit et des odeurs.

Néanmoins, et c'est ça l'espoir, je connais de jolis coins agréables, des gentilles personnes, des initiatives intéressantes, des bâtiments exceptionnels que je peux faire découvrir à ceux qui ont envie de voir autre chose que la plus incroyable cité industrielle d'Europe, classée la plus laide du monde. Bienvenue au Pays de Charleroi.

vendredi 27 février 2015

Catalogue Eric Bompard - printemps/été 2015


Alors que la Fashion Week Automne-Hiver 2015/2016 de Milan bat son plein après celle de New York et de Londres, retour sur la collection printemps-été d'Eric Bompard. La réception de son catalogue ce matin est comme un rappel que le printemps arrive bientôt même si le ciel reste gris et les températures fraîches. A découvrir sur le site web


Le catalogue Eric Bompard - printemps/été 2015, ce sont 74 pages de douceur et d'élégance pour l'homme, la femme et l'enfant, une véritable thérapie par le cachemire pour se sentir bien dans son pull.

Dès la couverture, la couleur est donnée. Bleu béryl, vert mojito, rose grenadine, orange succulente, jaune étoile, la palette s'élargit à tous les horizons pour une vive et lumineuse.


Au fil des pages, quelques coups de cœur :

Bien pour ma période "Tulipes"
Un dessin qui se décline en mini cardigan (215 euros) mais surtout en étole géante 250x120 (360 euros)


Côté marin, un ras de cou marin milano (320 euros)
et une étole géante croisière (250x120) (360 euros)


dont le motif croisière se décline aussi en cardigan (250 euros)

Je crains, hélas, que ces prix ne soient pas à la porté de ma bourse... mais il y a la fête des mères, l'anniversaire de mariage ou de naissance... on peut toujours rêver.

jeudi 26 février 2015

Tu verras quand tu auras cinquante ans. Tu as cinquante ans, et tu n'a rien vu.


C'est en direct de Montréal que j'aurais pu/dû/voulu poster ce message mais la vie en a voulu autrement. Elle désirait que je reste au "chaud" en Europe plutôt que de me geler la couenne dans le froid polaire de l'Amérique du Nord. Si un voyage peut toujours se reprogrammer, la raison du voyage, elle, ne reviendra malheureusement pas. Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de Stéphane - 1/2 siècle, une date qui marque... à ce qu'on dit parce que personnellement je n'ai pas vu la différence.



50 ans...et 50 nuances de GRIS puisque tu t'es plains d'avoir quelques fils d'argent. Mais avoir de l'argent, c'est prendre de la valeur, tu sais.

Tu es fifty pas de raison de le cacher, tu entres dans la grande communauté des quinquas où nos t'attendions déjà depuis quelques années.

Avant tu étais quadra. Mais ça, c'est avant ! Ça ne doit pas te dire grand chose ; c'est un détournement d'une publicité pour des lunettes.

Comme Chuck Norris, tu as 50 ans...pour toujours Ben oui, 50 ans, c'est le top et tu veux rester au top pour toujours.

50 ans, tu n'es pas vieux mais vintage ! Créé au siècle dernier, tu es devenu une valeur sûre.

Tu es "Made in 1965" à l'époque où il n'y avait pas encore de code barre, tout juste une étiquette autocollante, et encore !

50 ans, ta jeunesse est dans le pré (cours y vite, cours y vite...elle va filer !) et tu sais combien de choses peuvent se passer dans le pré !

Et puis, 50 ans, c'est pas vieux...pour un arbre. Tout est bien sûr relatif. Certains arbres vivent mille ans, alors qu'est-ce que c'est que 50 ans ?

50 printemps...et toujours pas d'hiver ! Cette année, on dirait pourtant qu'il est là et s'incruste.

Cinquante ans, âge où vivent bien des rêves, âge qui est encore, sinon la fleur de l'âge, l'âge des fleurs.  (J-Donat Dufour)

Avant cinquante ans on est jeune et beau. Après on est beau. (Jacques Higelin)

On sait qu’on a dépassé 50 ans,
quand on prédit le temps par ce que l’on le ressent dans les articulations.
quand on reçoit des cartes d’anniversaire qui ne mentionnent pas notre âge.
quand on commence à porter des chapeaux bizarres.
quand on pense que alerte à malibu est un documentaire ou qu’on s’inquiète que les maîtres-nageurs ne portent pas de pardessus.
quand on pense que CD est l’abréviation d’une maladie.
quand on ne se soucie pas d’acheter un répondeur car on est toujours à la maison. » John Newbold

Quarante ans, c’est la vieillesse de la jeunesse, mais cinquante ans, c’est la jeunesse de la vieillesse. (Victor Hugo)

C'est drôle, la vie. Quand on est gosse, le temps n'en finit pas de se traîner, et puis du jour au lendemain, on a comme ça 50 ans. (Jean-Pierre Jeunet)

50 ans est l'âge ou tu as connu tellement de monde mais pas encore oublié personne, que chaque nouvelle personne rencontrée te fais penser à une autre.

Ce qui est bien à 50 ans, c'est qu'un peu comme à 20 ans, on a la tête pleine de projets, mais avec cette fois l'expérience pour les réussir !

A 50 ans, finis d'être vieux parmi les jeunes, tu es maintenant un jeunot parmi les vieux !

Je pourrais continuer encore longtemps comme cela mais tu as bien autre chose à faire que de lire des vieux qui ne changeront pas ton âge... tu as 50 ans !

Joyeux anniversaire !!!

mercredi 25 février 2015

Carglass Belgique



Lorsque les années s'enfilent sur le long ruban de la vie, les occasions des "premières fois" deviennent plus rares. Cet après-midi, j'ai pourtant eu ma "première fois" avec Carglass. Pendant plus de 30 ans, je n'avais jamais eu de souci avec les pare-brises de mes voitures. Et je n'en aurais sans doute pas eu avec celui-ci non plus si Dan ne m'avait emprunté mon véhicule... Ne dites pas ce que je n'ai pas dit ; c'est une pierre sur la route qui a fait le grand saut jusque sur la vitre. Rien de plus.


Comme l'impact avait moins de deux centimètres et qu'il a été traité rapidement sans avoir eu le temps de s'étoiler, j'en ai été quitte pour une réparation au lieu d'un changement de pare-brise. Gain de temps et d'argent. Enfin, ce n'est pas moi qui paie mais mon assurance bris de vitres qui m'a invitée à me rendre chez Carglass. A noter que la réparation est facturée 99 euros.

J'ai donc pris rendez-vous sur le site Internet de Carglass. Dix minutes plus tard, ils m'appelaient pour finaliser le moment de l'intervention. Celle-ci allait pouvoir avoir lieu dans le centre que j'avais choisi (le plus proche de mon domicile) et à l'heure souhaitée.


Treize heures trente ma voiture rentrait dans la salle des opérations après que je sois passée à l'accueil pour signer les documents. Pendant l'intervention, je me suis assise dans le salon où se trouvaient des journaux, de l'eau, du café. Je n'ai pas vu le temps passer et trente minutes plus tard, l'impact avait été traité et c'est à peine si l'on arrive à deviner la réparation. Je bénéficie d'une garantie - on ne sait jamais ! mais il ne devrait pas y avoir de problème dans l'avenir sauf un autre caillou. Les routes sont si peu sûres...

Un grand merci à toute l'équipe de Carglass pour leur gentillesse, leur disponibilité et le travail effectué.

mardi 24 février 2015

Oscars - 3,8 kilos de gloire


J'ai regardé la 87e cérémonie des Oscars du cinéma (87th Academy Awards) qui était organisée par l'Academy of Motion Picture Arts and Sciences ce 22 février 2015 au Dolby Theatre de Los Angeles. Elle récompensait les films sortis en 2014. Cette année elle était présentée pour la première fois par Neil Patrick Harris. On avait déjà pu le voir lors des Emmy Awards en 2009 et 2013 et des Tony Awards en 2009, 2011, 2012 et 2013.


Sur le tapis rouge, mes robes préférées ont été celles de

Jennifer Hudson
Gwyneth Paltrow
Reese Witherspoon
La cérémonie était plaisante sans pour autant être transcendantale. Mon moment préféré entre tous - Lady Gaga et la venue de Julie Andrews. 50 ans déjà pour La mélodie du bonheur !


Le palmarès :

Meilleur film: "Birdman"


Meilleur réalisateur: Alejandro González Iñárritu, "Birdman"

Meilleure actrice: Julianne Moore, "Still Alice"


Meilleur acteur: Eddie Redmayne, "Une merveilleuse histoire du temps"


Meilleur acteur second rôle: J.K. Simmons, "Whiplash"


Meilleur actrice second rôle: Patricia Arquette, "Boyhood"


Meilleur film en langue étrangère: "Ida" (Pologne)


Meilleur film d'animation: "Les nouveaux héros"


Meilleure photographie: Emmanuel Lubezki, "Birdman"

Meilleurs costumes: "The Grand Budapest Hotel"


Meilleurs maquillages et coiffures: "The Grand Budapest Hotel"

Meilleure direction artistique: "The Grand Budapest Hotel"

Meilleur court métrage documentaire: "Crisis Hotline: Veterans Press 1"


Meilleur court métrage de fiction: "The Phone Call"


Meilleur court métrage d'animation: "Festin"


Meilleur mixage sonore: "Whiplash"

Meilleur montage sonore: "American Sniper"


Meilleurs effets spéciaux: "Interstellar"


Meilleur montage: Tom Cross, "Whiplash"

Meilleur documentaire: "Citizenfour"


Meilleure chanson: Glory, "Selma"


Meilleure bande originale: Alexandre Desplat, "The Grand Budapest Hotel"

Meilleur scénario original: "Birdman"

Meilleur scénario adapté: "The Imitation Game"




A l'année prochaine pour les nouvelles aventures du cinéma outre Atlantique en attendant il me reste à découvrir les films que je n'ai pas encore vus.

lundi 23 février 2015

Matin givré

Pendant que tout le monde dort, le givre travaille pour nous offrir des merveilles.
Surprise ce matin sur la fenêtre de toit, une broderie de glace.
Spectacle féerique fragile et éphémère
Oeuvre d'art de la nature qui m'a fait penser au travail de Tamar Kasparian
Tout juste photographié et déjà disparu.

La nature nous rappelle que rien ne dure ici bas - ni nous ni les fleurs de givre.

Cueillons tant qu'il est encore temps les fleurs de la vie

dimanche 22 février 2015

Clochette et la créature légendaire


Hier soir, j'ai regardé  "Clochette et la créature légendaire" en anglais dans le texte "Tinkerbell and the Legend of the Neverbeast" puisqu'il ne sort que le 8 avril en français avec entre autres, les voix de Lorie et Alizée. J'ai passé un excellent moment même si j'ai trouvé Clochette un peu moins jolie que ses amies fées... Question de goût évidemment :)


Noa, la fée des animaux pense que l'on ne doit pas juger un livre à sa couverture, ou un animal à ses crocs et se lie d'amitié avec une immense et mystérieuse créature. Clochette et ses amies voient d'un mauvais œil l'arrivée de l'effrayante bête dans la Vallée des Fées, Les fées d'élite s'engagent dans la chasse au monstre avant qu'il ne détruise leur foyer. Noa devra écouter son cœur et trouver en elle toute la confiance possible pour espérer rallier ses amies à sa cause et sauver cette créature légendaire.


Note :

Si vous avez gardé vos yeux et votre cœur d'enfant, je vous le conseille !

samedi 21 février 2015

Le théorème du homard - Graeme Simsion


Le théorème du homard - Graeme Simsion
Broché: 408 pages
Editeur : NIL (13 mars 2014)
Langue : Français
ISBN-10: 2841117200
ISBN-13: 978-2841117208


Peut-on trouver une épouse sur mesure ? C'est ce que croit le professeur de génétique Don Tillman, génie des sciences mais absolument inapte à vivre en société, en rédigeant un questionnaire extrêmement détaillé qui va lui permettre d'éliminer toutes les candidates qui ne répondent pas à ses exigences. Il appelle cela le "projet épouse" :
 La femme idéale NE DOIT PAS :
1. Fumer et boire.
2. Être végétarienne et aimer la glace à l'abricot.
3. Se lever après 6 heures.
Mais DOIT :
1. Faire du sport.
2. Être ponctuelle.
3. Accepter le Système de Repas Normalisé qui prévoit du homard au dîner le mardi.
Rosie Jarman ne remplit aucun de ces critères. Doctorante en psychologie le jour, barmaid la nuit, elle vit une vie on ne peut plus désordonnée. Elle atterrit dans le bureau de Don pour une recherche de paternité et échoue au test "épouse". Don, contre toute logique accepte de l'aider et s'embarque dans une aventure rocambolesque pour obtenir l'ADN des pères potentiels. Mais c'est autre chose qu'un père qui apparaît... c'est l'amour.


Notation :

vendredi 20 février 2015

Dernier regard sur Leiden

Dernière carte postale de Leiden. Il est temps de tourner la page jusqu'à de prochaines découvertes aux Pays-bas ou ailleurs...
La ville est riche de centaines de maisons anciennes souvent remarquables avec leur pignon à redents.
Les maisons anciennes qui se mirent dans les canaux.
Les bâtiments modernes à usage de bureaux ou d'habitations
Les musées
Les bâtiments publics
Les endroits touristiques
Et tant d'autres choses que je vous conseille de découvrir par vous-même... et ce n'est pas Lolly qui vous dira le contraire...